Partager:
https://target-sarl.cd/up/link/fr/94

Chez Target, un jour avec Martial Buduile

« Lorsque je sais qu’il est sur un travail, je suis en paix », « Il est très professionnel dans son travail »… Autant d’éloges que ses collègues couvrent Martial Buduile, jeune licencié en Génie électrique et informatique, employé de Target depuis 2017.
Martial Buduile est une belle illustration de l’impact positif de Target sur la jeunesse congolaise. L’ex-électricien a acquis l’abécédaire des études de marché chez Target. Aujourd’hui, c’est un professionnel sur lequel le cabinet compte dans la conduite de plusieurs études. À 8h 00 lorsqu’il arrive au bureau, Martial entame sa journée par la lecture des mails. « Je commence par lire mes mails, pour être sûr de ne rien oublier dans la planification de ma journée, un exercice qui lui prend une vingtaine des minutes », dit-il.
Pour une planification complète de sa journée, il se tourne vers Hortense Bumba, sa supérieure hiérarchique. Ensemble, ils évaluent les différents cas sur lesquels ils travaillent et décident de ce qui doit être fait prioritairement. « Maintenant que j’ai fait le point avec ma hiérarchie, je sais de quoi sera fait ma journée ». Avant de poursuivre, ou plutôt d’entamer sa journée, il prend son petit déjeuner. Le menu est plus ou moins consistant, afin de lui permettre de résister jusqu’à la pause. Pains, omelette, lait caillé et bananes. Quinze minutes plus tard, le revoilà assis devant son ordinateur. Cette fois, pour répondre aux mails, conformément à ses échanges d'il y a quelques minutes avec la responsable du département Projet.
Après la lecture et la réponse aux mails, Martial doit coordonner par téléphone la réalisation d’une enquête à l’intérieur de la RDC. Il vérifie si les questionnaires sont conformes aux objectifs de l’étude, si tous les enquêteurs sont prêts, etc. Suivre comme ça en amont la réalisation d'une étude, va lui faciliter le travail lorsque la phase de traitement arrivera. « Chez Target, nous mettons un accent particulier sur la qualité. Nous faisons de notre mieux pour éliminer toutes incohérences et fournir aux clients des données qui leur permettent de prendre les meilleurs décisions », explique Martial. Pour suivre de plus près le travail, il se retire dans la salle de réunion afin de mieux se concentrer mais aussi pour ne pas distraire ses collègues de bureau.
Trois quarts d’heure après, il revient devant son ordinateur. Il doit préparer quelques données sur le secteur de l’énergie en RDC. Des données que Target prévoit de publier afin de présenter les opportunités d'investissement dans ce secteur. Cette publication doit coïncider avec la clôture du forum national sur l’énergie qui aura lieu dans quelques heures. Martial se concentre sur son ordinateur, pour finir le travail qu'il avait entamé 48 heures plus tôt. Il finit à peine de réunir les éléments nécessaires que le General Manager du cabinet, Serge Mumbu, vient vers lui s'enquérir de l’évolution du travail. La conversation entre Martial et Serge est détendue et se passe en anglais. Serge lui lance de temps en temps quelques blagues qui font éclater de rire tout le monde dans le bureau.
Les deux hommes discutent ensemble et compte tenu de certaines réalités liées au travail, Serge propose à Martial deux voyages. L'un vers Lubumbashi et l'autre vers Goma. Martial est tout de suite d'accord d'aller à Lubumbashi mais promet de réfléchir quant à Goma. « Comment ça réfléchir ? », lui lance Arlette Lembou, sa collègue de bureau sous le regard perplexe de Serge. « À Goma, il y a Ebola », répond-t-il. Tout le monde éclate de rire dans le bureau. Martial entretient des relations privilégiées avec chaque membre du cabinet. Ses collègues lui ont beaucoup apporté pour faire de lui celui qu’il est aujourd’hui. « J’avais le potentiel mais pas le savoir-faire car je venais d’un domaine tout autre ! Ils l’ont compris et ont accepté de m’apprendre ce métier. Aujourd’hui, tout ce que je sais, je l’ai appris ici », raconte-t-il. C’est pourquoi partir de Target n’est pas une option qu’il envisage pour l’instant.
« Je me plais ici, le travail est dynamique et les collègues sont des personnes géniales, je ne pense pas partir maintenant », rassure –t - il. Son objectif à court terme : se former et apprendre davantage pour être en mesure d’assumer encore plus des responsabilités au sein du cabinet. Pour en savoir un peu plus sur Martial, cliquez ici.